
Travailler dans le digital ; peut-on nous passer de Google et Facebook ?
Dans la recherche de vie privée sur internet, il est difficile de trouver des outils performants et transparents qui ne récoltent pas nos données personnelles.

Quelles banques d’images gratuites utiliser ?
Vous ne savez pas où trouver vos images libres de droit ? Vous avez des besoins spécifiques comme l’extension des fichiers téléchargés ou le format des photos recherchées ? Pas de panique, nous vous aidons à trouver la meilleure banque d’image gratuite selon vos exigences !
PIXABAY
Si vous cherchez de jolis paysages, une chose est sûre c’est que vous ne repartirez pas de www.pixabay.com sans avoir trouvé votre bonheur !
FREEPIK
Vous avez besoin de vecteurs, d’icônes, de fichiers .ai ou .psd ? Pas de soucis, www.freepik.com est là pour vous avec son large choix de téléchargeables.
PICOGRAPHY
Si vous avez un besoin plus pro et artistique, www.picography.co est certainement le site dont vous aviez besoin ! Avec un large choix de clichés tous aussi agréables les uns que les autres.
ISOREPUBLIC
Pour télécharger des photos mais aussi des vidéos, rien de mieux que www.isorepublic.com pour satisfaire vos besoins.
WALLPAPERS
Vous êtes pressés ? Aucun soucis, www.wallpapers.io propose un éditeur de photo gratuit en ligne sur le site.
LIFEOFPIX
Pour les plus exigeants, www.lifeofpix.com propose un large choix de filtres, comme par exemple par couleur ou par format, de quoi satisfaire même les plus tatillons d’entre vous !
Bonus ?
Mon petit chouchou à moi, c’est www.unsplash.com parce que j’adore son côté original, moderne et sobre !
Besoin de vous former en profondeur à la communication sur les réseaux sociaux, apprendre à créer et trouver les bons visuels et mettre en place une stratégie éditoriale ? Jetez un œil à nos formations en ligne, à suivre tranquillement de chez vous 🙂

Sexe et marketing d’influence
Aujourd’hui, entendre parler du dernier sextoy ultra puissant, d’éjaculation précoce et de problématiques de polyamour est devenu banal sur les réseaux. Comme c’est le cas pour certains influençeurs, plusieurs comptes Instagram ou YouTube abordant la sexualité sont suivis par des milliers de personnes. On peut donc se poser la question de la place de l’industrie du sexe dans le marketing d’influence.
On utilise de plus en plus le terme Sextech (contraction de sexe et technologie), pour mettre en avant les entreprises qui misent sur le bien-être sexuel : sextoys connectés, applications à utiliser en couple, services à la personne…
Avec tout ça, j’ai l’impression que nous sommes à l’aube d’un renouveau économique autour de la sexualité. Une industrialisation du bien-être sexuel, bénéfique selon moi, puisque les projets apportent de belles solutions : épanouissement solo ou en couple, handicap, médical…
On parle donc un peu plus librement de sexualité, et ça encourage certaines voix à s’élever (et vice-versa). Ainsi, des personnes s’appuient sur YouTube, Instagram, Twitter ou Twitch pour parler masturbation, consentement, inclusion ou des pratiques dans le monde (je vous conseille à ce propos la série de documentaires Netflix Sex & Love around the world)… bref, un mouvement ultra positif qui se répand grâce aux réseaux sociaux.
Ce que je vous propose ici, c’est un petit tour d’horizon de ce qu’on trouve les réseaux en termes d’influence et de sexe. Go ?
Les émissions
Crac Crac
Crac Crac, vous en avez peut-être entendu parler, est une émission proposée par Canal + et Monsieur Poulpe.
40mn de show lors desquels les invités parlent fétichisme, féminisme, politique, culture… le tout sous l’angle de la sexualité et avec humour évidemment. Bon, ok, de base on n’est pas sur les réseaux sociaux ici, mais vous pouvez retrouver les émissions en replay sur YouTube :
Radio Sexe
Radio Sexe est une émission radio diffusée tous les dimanches soir, de 21h30 à minuit, sur Twitch, un réseau de streaming très axé jeux vidéos. Pendant l’émission, les animateurs répondent aux questions d’auditeurs sélectionnés sur le réseau social Discord.
Je préviens, on n’est pas sur du haut niveau de sexologie, mais l’émission est légère, fun et permet de répondre aux inquiétudes des plus jeunes.
Ecouter les anciennes émissions de RadioSexe
Les Youtubeuses
YouTube est un média idéal pour partager des vidéos longues, explicatives. Plusieurs personnes utilisent donc cette plateforme pour conseiller leur audience ou parler de leurs expériences.
Clémity Jane
Clémity Jane totalise près de 120.000 abonnés et parle partage principalement ses avis sur les sextoys :
Ambr’ouille
Ambr’Ouille est suivie par plus de 365.000 abonnés. Sa chaîne parle de sexualité en général : séduction, peurs, conseils pratiques…
Laura Badler
Laura Badler est une jeune femme qui a la particularité d’être transgenre. Sur sa chaîne suivie par plus de 30.000 personnes, elle parle depuis 2015 de sa transition, de son couple, de sa sexualité et plus généralement, de sa vie.
Les comptes Instagram
Jouissance Club
Jouissance Club est un compte super intéressant, plein de bon sens et de techniques. Vous voulez améliorer vos skills en masturbation de vous-même ou d’autrui ? Il sera votre meilleur allié !
Tu Bandes
Tu bandes a été créé après le compte T’as joui (malheureusement supprimé à l’heure où j’écris cet article), qui a été l’un des premiers comptes Instagram a parler ouvertement de sexualité avec des conseils pratiques et des retours d’expériences. Tu bandes met en lumière les problèmes des hommes grâce à leurs témoignages.
Le gang du clito
Le gang du clito parle masturbation, avec une identité visuelle soignée et pleins de stories intéressantes. Julia Pietri, qui anime ce compte, a également écrit un guide de la masturbation féminine qu’elle vend par ici.
It’s not a bretzel
It’s not a bretzel a également été créé par Julia Pietri, sauf que ce compte là a une vocation plus militante. Il s’agit de proposer d’investir les rues avec des images de clitoris en streetart, avec la finalité de davantage parler de cet organe dans les manuels scolaires, et de lutter contre “l’analphabétisme sexuel”.
Les Sex-influençeurs
J’aurais aimé vous parler de Belle Delphine, cette influençeuse-gameuse-business woman qui totalisait 4.5 millions d’abonnés sur son compte Instagram… mais ce dernier vient de se faire supprimer. Elle a fait un gros coup marketing récemment en vendant des flacons d’eau de son bain pour 30$.
Leo et Lulu
Leo et Lulu sont en couple et partagent leur sexualité de façon anonyme sur les réseaux sociaux depuis 2 ou 3 ans déjà. Instagram pour le contenu “soft”, Twitter pour le teasing, PornHub pour le très explicite et Snapchat pour les fans les plus fervents, qui paient un abonnement pour obtenir l’accès au compte.
Luna et James
Luna et James fait dans l’amateur atypique, puisqu’ils n’ont pas peur de dévoiler leurs visages et leur vie de tous les jours sur leur compte Instagram, où ils nous font découvrir leurs voyages au passage.
Kim et Paolo
Kim et Paolo, eux aussi, dévoilent visages et photos soft sur Instagram, mais ils tiennent un blog bien plus explicite, où ils vendent même des sous-vêtements portés. Comme les deux couples déjà cités, ils ont une chaine PornHub.
Quelles évolutions pour le sexe sur les réseaux sociaux ?
Alors voilà, on parle de sexualité de plus en plus librement, de façon pédagogue et bienveillante et de plus en plus inclusive. Personnellement, je remarque que les 18-25 ans sont plus ouverts et tolérants que les générations précédentes. C’est probablement grâce à eux que ces nouveaux comptes Instagram, chaînes YouTube et émissions cartonnent !
Pour moi, il se passe deux choses intéressantes aujourd’hui dans l’industrie du sexe :
Le bien-être sexuel grâce aux réseaux sociaux
On parle de plus en plus de sexualité sans tabous. À l’ère du développement personnel, les comptes Instagram pour nous aider à aller bien se sont multipliés et sont suivis par des milliers de personnes. Si on reste dans le registre de personnes à fortes communautés, Céline Tran, ex-actrice X connue sous le nom de Katsuni, a récemment ouvert un cabinet de coaching en sexualité.
D’après moi cette tendance est ultra-bénéfique puisqu’elle libère la parole et désacralise le sexe. Reste juste à garder en tête qu’un accompagnement plus profond devrait parfois être réalisé avec l’aide d’un professionnel.
Vers une monétisation des Sex-influençeurs ?
Le porno, notamment avec le développement de l’amateurisme, est complètement entré dans les moeurs. On devrait voir de plus en plus de couples et de personnes lambda partager leurs vies sexuelles via des comptes dédiés sur les réseaux sociaux, et pourquoi pas monnayer cette activité.
Des comptes de voyageurs comme Oliver and Verde ont déjà mis le pied dans l’industrie professionnelle du porno en tournant un film avec Erika Lust.
À mon avis on ne devrait pas tarder à voir émerger (si ce n’est pas déjà le cas), des partenariats rémunérés entre marques et sex-influençeurs, exactement comme nous le voyons déjà depuis de nombreuses années entre des marques et des blogueur.se.s ou YouTubeur.se.s mode, beauté, voyage ou lifestyle…
Alors, de votre côté, avez-vous aussi remarqué de grosses évolutions dans le domaine du bien-être sexuel et du marketing d’influence, grâce aux réseaux sociaux ? Cette libération de parole est-elle plutôt positive ou négative selon vous ? On serait intéressés de pouvoir échanger en commentaires ?

Solliciter les micro-influenceurs : dans quel but ?
Bonjour, c’est Maxime, assistant communication chez Pawan. Aujourd’hui, je voudrais vous parler des micro-influençeurs, ces Instagrameurs ou blogueurs suivis par une communauté relativement petite comparée aux grosses célébrités des réseaux sociaux… et pourquoi il peut être avantageux de créer un partenariat avec eux, en tant que marque. Let’s go !
C’est quoi un micro-influenceur?
D’après le journal du CM, le terme micro-influenceur ou micro-influenceuse “désigne généralement l’influenceur étant en charge d’une communauté comprise entre 10.000 et 50.000 internautes, voire plus selon les sujets abordés. On pourrait par exemple parler de 100.000 internautes sur des sujets comme le lifestyle, la mode ou encore la beauté car les influenceuses au sens large y sont très nombreuses.”
Le marketing d’influence est en plein essor et nous promet de beaux jours. Même si les célébrités sont toujours sollicitées, les réseaux sociaux ont changé la donne et il n’est plus nécessaire de se tourner vers des comptes à 5 millions d’abonnés.
Pourquoi travailler avec un micro-influençeur ?
Vous êtes une petite structure, en démarrage ou pas, avec un petit budget pour votre communication et vous cherchez LA perle rare qui va aider à vous démarquer. Travailler avec un micro-influençeur va vous permettre de :
- Étendre la notoriété de votre marque en surfant sur sa communauté.
- Partager votre contenu, produit ou service et augmenter vos ventes.
- Promouvoir votre produit en offrant un avantage à sa communauté (Ex : -10% dès votre première commande avec le code PAWAN10).
- Exploiter un nouvel angle de communication autour de votre produit.
Le micro-influenceur offre plusieurs avantages :
Il est souvent authentique, simple et sa communauté a un sentiment de plus grande proximité qu’avec les influençeurs très suivis.
Votre investissement sera beaucoup moins important qu’en passant par des canaux traditionnels : marketing en ligne, télé, radio, presse etc.
Enfin, l’accessibilité du micro-influenceur sera un avantage pour vos échanges.
Quelles données analyser avant de choisir mon influençeur partenaire ?
C’est là que l’avantage du micro-influencer est décisif par rapport aux plus gros :
Moins il y a d’abonnés, plus l’engagement est important.
C’est ce que montre ce graphique réalisé par Markerly avec plus de 800 000 comptes Instagram :

Certes, votre portée sera exponentielle en travaillant avec un macro-influenceur ou une célébrité, mais le retour sur investissement risque de vous décevoir… Eh oui, plus il y a de followers, plus c’est cher !
Petits conseils pour terminer :
- Choisir son influençeur en fonction de sa cible : famille, voyage, couple, senior, gastronomie…
- Étudier son nombre d’abonnés / fans, mais surtout l’engagement sous ses publications : nombre de j’aime, commentaires de qualité, échanges entre l’influençeur et sa communauté… il est possible est peu onéreux d’acheter des faux abonnés / fans, donc attention aux faux influençeurs avides de partenariats.
- Établir clairement les règles du partenariat : nombre de publications, réalisation de photos ou vidéos, mise en place de concours, rémunération…
- Demander ses statistiques à l’influençeur : nombre de personnes atteintes par ses publications, vue des articles de blog et taux d’engagement.